Simon est d’avis qu’un bon avocat doit savoir s’adapter à la diversité des situations, contextes et principes juridiques, tout en faisant preuve d’action résolue et diligente pour régler les problèmes qui peuvent surgir.

Le choix d’une carrière en droit lui permet de nourrir son intérêt de longue date pour les questions au confluent de l’histoire, de la politique et du droit.

Dans quel domaine avez-vous étudié?

Je me suis spécialisé dans l’étude des conflits liés aux ressources minières en République démocratique du Congo, ce qui m’a aidé à comprendre le droit international en matière de droits de la personne et à l’appliquer à des conflits historiques et en cours bien précis.

Nommez une expérience, un emploi ou un stage qui vous a procuré les plus grands apprentissages ou la plus grande gratification.

Depuis 2017, je travaille comme enquêteur au Commissariat aux langues officielles. Aider les Canadiens à avoir accès à la justice, au financement et aux services dans un souci d’égalité réelle s’est révélé très gratifiant.

Si vous n’aviez pas choisi le droit, quelle avenue professionnelle auriez-vous empruntée?

J’aurais établi un gîte touristique sur une petite ferme fonctionnelle à la campagne afin de vivre de façon durable des produits de la terre.

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